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circuit 24

Conjonctions et hasards

Cet ensemble répertorie les 24 circuits de la saison 2024 de formule 1.

Le titre « Circuit 24 » fait référence à un circuit pour voitures miniatures, un jeu qui a connu un grand succès au cours des années 60.

Cette conjonction de chiffres étant posée reste ensuite à donner forme à une production plastique.

Le dessin

À l’origine les plans des circuits sont des schémas factuels sans qualité remarquable. Regroupés et ré-agencés ils changent de statut, Toute proportion gardée, cet état incertain peut trouver une référence dans l’oeuvre marquante « élevage de poussière » de Man Ray et de Marcel Duchamp qui ouvre sur des questions de signification, de contexte et de processus.

Pour représenter les tracés vint l’idée d’un protocole : en jouant à la voiture avec un feutre fin, respecter le nombre de tours de chaque course. De passage en passage la ligne ténue se densifie, lointain écho à la performance de Richard Long « a line made by walking »

Et pour finir

Pour rester dans le jeu, dans une veine ironique et candide, la mise en espace convoque le drapeau à damier utilisé dans les courses pour indiquer la fin de l’épreuve.

redresser les arbres

« redresser les arbres »

Work in progress
Série d’images en noir et blanc au format carré.
2021/2022

échoué.er

« échoué.er »
Six dessins sur papier abandonnés une saison en extérieur, fil, épingles.
Chaque dessin 21 x 28 cm. Encadrement: 34 x 43 cm
2020/2021

peinture à l’eau

Une proposition contextuelle dans le cadre de l’exposition estivale « bordure(s) » organisée par
Canal Satellite AC à Migennes

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1kg88

Le poids de l’histoire de l’art

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Peinture & peintures

Acrylique sur tirages numériques

240 cm x 120 cm (3 toiles 80 x 120 tendues sur châssis)

Peinture et peintures : trois photographies de foires d’art contemporain et trois couleurs primaires.
Il s’agit ensuite de peindre l’ensemble de l’espace à l’exception des surfaces occupées par les peintures exposées.

street art

À l’origine de ce projet l’envie d’investir des pratiques et techniques les plus éloignées possible du registre habituel de l’art contemporain.

S’en est suivi l’idée de faire des « paysages à l’aquarelle » un genre qui illustre parfaitement ce grand écart, sa connotation désuète le rendant encore plus stimulant.

Ce postulat établi se pose alors la question du sujet et ses corollaires, le choix, le point de vue, le traitement… tout un ensemble de problématiques qu’il m’a paru nécessaire de bousculer...
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bugs

Découvrant le chantier d’ « archéologie contemporaine » à Pouilloux,  l’idée est venue d’utiliser une partie des moules exhumés du dépotoir de cette ancienne fabrique industrielle d’objets en céramique pour produire une nouvelle typologie d’objets uniques et singuliers. Le fait d’appareiller les moules de manière aléatoire ouvre d’autres possibles, fait éclore de nouveaux objets au statut ambigu, œuvres uniques nées d’un processus industriel réactivé et détourné.

La production des pièces exposées s’est effectuée, en mars dernier, lors d’un workshop  à l’École Nationale Supérieure d’Art de Limoges, avec Vincent Carlier et Christian Couty, enseignants.

Exposition à « la briqueterie »  du 6 juillet au 20 octobre 2013
La Briqueterie – route du canal – D974 – 71420 CIRY-LE-NOBLE – Tel : 03 85 79 18 98

faire un plan

Ce projet s’inscrit dans le cadre de « culture à l’hôpital » et l’exposition qui en a découlé est l’aboutissement de rencontres insolites souvent émouvantes entre l’artiste et les patients ou résidents de différents services

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